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 [RP] Aux âmes des Poëtes, les reflux de l'Inspi

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AuteurMessage
Lafeeviviane




Nombre de messages : 1423
Age : 35
Localisation : Murat-Lorient
Date d'inscription : 03/09/2006

[RP] Aux âmes des Poëtes, les reflux de l'Inspi Empty
MessageSujet: [RP] Aux âmes des Poëtes, les reflux de l'Inspi   [RP] Aux âmes des Poëtes, les reflux de l'Inspi Icon_minitimeMar 1 Avr - 8:45

Zaloute a écrit:
Une prairie, une clairière, une plaine grise et houleuse, une succession de collines épaisses, une grange abandonnée, une meule de foin chaude et odorante séchant au soleil... à la guise...

Chacun se pose dans son nuage rêveur qu'il module tel qu'il le veut, un peu de surréalisme artistique, doux, aux relents éthérés. Seuls les esprits s'y choquent sans heurts, et les frontières s'arrêtent aux bornes de l'imagination d'un autre.

Une plage ensablée, murmurant son soupir frais et insuflant sa puissante Inspiration dans les poumons d'un solitaire ; enchantée d'un frôlement d'herbes drues et légères, se caressant des plumeaux sous les soufflets du vent moqueur et courbées par le mugissement sourd de l'Inspiration du mélancolique ; côtoyées par le ruisselet d'un torrent de montagne, qui lutte, hilare et furieux, contre les énormes rocs de marbre veiné qui se laissent rouler jusqu'à son lit dans un éclat de provocation, et éclabousse, dans un virage alangui, les pieds menus de l'Inspiré recru et apaisé. Des possibilités infinies, il suffit d'y penser.

On ne s'arrête nulle part car ce n'est pas une histoire, juste un coin de nuage façonnable et sans cesse renouvelé. Chacun salue de son sourire vague, derrière un voile fin, celui qui s'étend dans son coin vierge, et se permet une Rêverie fertile.

Quelque soit le succès de ce genre d'expression, il reste le meilleur que j'aie trouvé dans mon cas propre. Peut-être le seul qui me permette un instant prolongé d'égarement hermétique.

Prose ou vers, juste quelques lignes ou quelques paragraphes, ou un conte ou quoique ce soit, des mots à la chaîne qui vident la tête, le ventre et le creux de la poitrine.

De moi à moi :
Une immense plaine, à perte de vue, ondulée de collines, bouclée par l'horizon et close par le couvercle gris des cumulus d'orage. Le vent se rue, mugit, éclate d'un rire diabolique et euhporique, entre les pics et les arrêtes, au creux des douces modérations du paysage. Du haut d'une courte falaise de granite friable, les herbe et les cheveux cinglés par les bourrasque furibondes, l'oeil se perd dans l'interminable et étroite fente de vie : la terre et le ciel bloquent toute escapade. On le sent prêt à s'effondrer sur le sol. Et les bourrasques s'y engouffrent avec jouissance, profitent de ce cours espace pour se donner l'excuse de leur violence.
Le claquement sec des tissus, des branches et des buissons, emplit le silence venté, comme l'air bousculé obstrue la gorge jusques dans la poitrine, comme pour nous noyer de sa détresse de poursuivie. Plus aucun sentiment que ces masse de fluide, palpables, qui enveloppent, tournoient, s'infiltrent, poussent et tirent, et rient de notre précaire équilibre. Plus aucun son que celui des cheveux qui frottent l'oreille, la tempe et le front.

L'oeil scintillant sur le paysage, campé dans le roc, on se fond dans le vent. Eparpillée, coulée dans les particules en furie, on danse sans rythme, avec une vitesse douce et langoureuse. Un oubli complet, obtenu sans un geste. Le bruit s'installe dans l'arrière du crâne, l'air dans chaque interstice, et on en est si bien comblé, si complètement épousé de l'intérieur, que le sourire du Vent s'imprime sur nos lèvres ravies. L'oeil éteint s'est fermé, on s'appuie et se repose, confiante, contre cette main immense qui nous saisit par les reins.

Le repos tranquille dans la tempête grise d'une plaine interminable.

Persmerga a écrit:
Un aigle arrive enfin et ce pose juste a coté de zaloute laissant un messaged'un homme fou

Citation :
Nous sommes tous mortelle

Le soleil s'est couché ce soir dans notre Forêt
Demain reviendra le jour,le soir et la nuit
l'aube reviendra éclairer nos splendides bosquets
Les nuits et les jours passent du temps qui s'enfuit.

Tous passeront, plus ou moins vite durant notre vie
les secondes, les heures, les jours,et enfin les années.
Tous passeront,puis viendra le jour où je vis
les bois que j'ai tant chéris et aimés.

Les eaux et les montagnes de notre temps
seront ridées et non vieillis, nos prairies toujours vertes.
le souffle fort et non faibli des vents
passeront sur mon âme entrouverte.

Mais moi sous chaque siècle baissant plus bas ma tête
Sous un soleil écarlate et radieux
je partirais au milieu de la fête Sans que rien ne manque au monde immense et joyeux.


le village

Notre ennemi est passé là. Tous est ruine et deuil,
le village n'est plus qu'un sombre écueil.
Luis si radieux autrefois,
orné de belles roses.
N'est plus qu'un tombeau triste et morose,
et je ne pense plus qu'à d'autre que moi.

Tout est désert et près des murs noirs,
on peut d'un regard apercevoir.
Un homme au visage noircie
par sa grande douleur reste assis.
Pensant à ses tristes heures
que de ne pouvoir garder son fils dans son coeur.

De mon cheval regardant,
de grandes flammes flamboyantes.
A la vue des cadavres nous marchâmes,
et ne pensant plus qu'à lui,
Cet homme pleurant de toute son âme
se levant épée à la main, puis s'enfuit.

Jeunesse

Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux voyage
où même les rayon du soleil joyeux
ne pouvaient traverser les démons du ravage.
qui étaient seulement les coups de tonnerre ténébreux.

Se fut une sensation étrange
Que jamais je n'avais ressentie
depuis que les archanges
m'avaient donner la vie.

Se ne fut que tard durant une nuit
que mon âme se libéra
devant cette femme je m'enfuie
et qu'un jour elle me retrouvera.


Les 4 saisons


La douceur du printemps
qui nous a temps manqué.
Dans les espace du temps
tu nous est arrivé.
Sur ton beau chevale blanc
descendant un mont-blanc

LA caresse de l'automne
est bien trop monotone.
Comparé à tes yeux
d'un regard écarlate.
Contre l'automne ennuyeux
sens allant avec hâte.

Un grand été joyeux.
Contre un hiver tuant
Les pauvres malheureux.
Des flammes flamboyant
te jetant un regard
dit que les 4 saison
s'envont a l'unisson.



Liberté

LA liberté est une chose que l'on doit savourer.
On ma copé les aile de cette liberté
pour que plus jamais je ne puisse m'envoler.
Le monde est plongé dans une obscurité
ou même la lave est une passivité
et même les plus fort font bien leur fierté.

La liberté est de l'autre coté
la ou l'herbe est vert et les fleure sont rose
ou l'homme est en parfait égalité
la ou les villages ne sont pas morose.
Mais maintenant le rêve est terminé
il faut affronté la triste réalité

~Ethan~ a écrit:
Serait ce lien mystérieux qui réunit frère et sœur, qui l’attire, l’appel, se rapprochant inexorablement d’elle
Son corps et son esprit abandonnés à la quiétude de l’apaisement
Il s’allonge sans un bruit, son regard se perd dans cette immensité bleue, grise
S’étendre mollement, l’esprit vagabond chevauchant vers des contrées lointaines, là ou, il n’y a pas de limites, ni d’interdits, ni d’entraves, que seule celle de nos esprit étriqué, malmené par l’apparat du savoir plaire et paraître

Long soupir s’échappe, vidant les poumons, emportant au loin la confusion et le ressentit qui parfois vous déchire les entrailles
Nul cri, ni hurlement, juste expirer lentement la frustration, la rage qui parfois nous gagne, laissant un goût amer et âpre dans l’arrière gorge
Illusion de vomir ce monde, ce dégoût qui se forme en boule et pèse sur l’estomac
Vouloir sortir de son propre corps et cesser d’exister quand ça fait mal, quand c’est trop dur

Et revient le vent effleurer de sa douce brise le visage, sifflant doucement à votre oreille
Vous remémorant la vie, sa pureté, sa simplicité et sa mansuétude, si seulement tout pouvait être aussi simple que le souffle de la vie qui coule en nous
Tomber le masque de l’indifférence, se dévoiler sans peur, ni crainte
Pouvoir trouver dans le regard des autres l’amour pure et limpide qui nous transporte et nous fait avancer
Que s’abandonnent les apparats aux goûts âpres que l’on se donne
Il suffit d’une main tendue, d’un regard, d’un sourire inconnu pour que brille à nouveau en nous l’envie…

Si je m’allonge ici
Si je ne fais que m’allonger ici
T’allongerais tu avec moi et oublierais tu le monde…
Oublier ce que l’on nous dit
Avant que l’on ne soit trop vieux
Montre moi un jardin ou respire la vie
Je ne sais pas où
Je ne sais pas comment
Mais prenons juste le temps tant qu’il est encore temps...

Le relieur d'âmes a écrit:
Oh poésie, plaisir des mots, plaisir des sens, les sentiments exacerbés, le papiers gribouillé, le temps arrêté. voici quelques vers que les RP m'ont inspirés

****************************************

Une belle rose blanche, au jour naissant
Naïve, pure et douce, par un matin est née
Une belle rose blanche, à la rosée tombante
N’ayant pour ces frère aucun préjuger

Une douce rose blanche, a peine éclot
Offrait à la rosée ses pétales clos
Une douce rose blanche, a été coupée
D’un coup de sabre d’un roturier

Une belle rose blanche j’ai ramassé
Dans un joli vase je l’ai hébergé
Lui prodiguant milles soins toujours a ces cotés
Si seulement je pouvait la replanté

*******************************************


Une main dans une main
Un sourire, de tendre mot
Un guide sur le chemin
Un baume pour tous les maux

Une étreinte, chaleur douce
Un regard amical, un geste aimant
Une consolation dans la mousse
Une consolation dans les tourments

Ne rien ce dire et tout comprendre
Une amitié inébranlable
Ne rien attendre ne rien prendre
Une douceur pour nos âmes

Une tendresse qui n’as pas de limite
Une tendresse de l’âme
Qu’aucune jalousie ne limite
Qui ne souffre aucun drame

La tendresse de deux être
Sans avoir aucune trêve
La tendresse de deux être
Voila quel est mon rêve

***********************************

J’aimerai pouvoir faire naître en toi un bonheur éternel
Une joie de vivre qui éclabousserait le monde entier
La force inébranlable d’un amour universel
J’aimerai te donner cette étincelle pour l’éternité

J’aimerai pouvoir simplement échanger nos destinées
Prendre à jamais tes souvenirs, tes ennuis, tes tourments
Et te donner ma joie de vivre, ma foi et ma gaîté
J’aimerai pouvoir te rendre heureuse tout simplement

J’aimerai, Oh ! Oui ! Oh ! J’aimerai avoir ce pouvoir là
Rien qu’une fois, une seule petite fois, rien que pour toi
Pour plus jamais, au grand jamais te voir comme tu es là
J’aimerai, Oh ! Oui ! J’aimerai. Mais voila ! j’suis maladroit

***********************************************

feeleone a écrit:
Citation :
Tu es la noème de mes pensées

Dans la vie, plus rien ne m’importe
Depuis que je ne vois que toi.
Et tout l’amour que je te porte
Se reflète dans mes émois.

Ta présence a fait s’envoler
Mes cauchemars dissimulés.
Grâce à cela je suis heureux,
Et j’ai pu enfin découvrir
Le complexe cristal précieux
Dont sont formés tes jolis yeux,
Qui, absents, me laissent flétrir
Telle une fine rose qui,
De ses deux uniques pétales
Incarnerait tes lèvres pâles,
Par une enivrante magie…
Grâce à laquelle ta douce peau,
Que je préfère aux plus soyeux velours,
Est de ta genèse l’écho,
Outrepassons tes plus sombres amours…
Car à chaque larme versée,
Ils t’éloignent de la félicité
Que je te voudrais voir atteindre



***c' est à vous qu' elles vont, mes lentes rêveries, et de mes pleurs chantés les amères douceurs.
Prisonnière en ce livre une âme est contenue. Ouvrez, lisez : comptez les jours que j' ai souffert.
Pleureuses de ce monde où je passe inconnue, rêvez sur cette cendre et trempez-y vos fers. Chantez ! Un chant de femme attendrit la souffrance.
Aimez ! Plus que l' amour la haine fait souffrir. Donnez ! La charité relève l' espérance : tant que l' on peut donner on ne veut pas mourir ! Si vous n' avez le temps d' écrire aussi vos larmes, laissez-les de vos yeux descendre sur ces vers. Absoudre, c' est prier. Prier, ce sont nos armes. Absolvez de mon sort les feuillets entr' ouverts ! Pour livrer sa pensée au vent de la parole, s' il faut avoir perdu quelque peu sa raison, qui donne son secret est plus tendre que folle : méprise-t-on l' oiseau qui répend sa chanson ?****



J'aimerai tant m'envoler,
Déployer enfin mes ailes
Savoir aimer
Être enfin aimé
Déchaîner mes liens de cette vie enflammée
Me libérer de cette vie de solitude
Vivre enfin en toute plénitude
Sécher le torrent de pleur
Qui a inondé mon coeur
Me séparer de cette tristesse
Regagner de la vie toute son 'ivresse
Doux chant mortel
Arrache toi de moi
Arrache toi de mon coeur
Qui n'a cessé d'être en pleurs
Arrache toi de mon âme
Emportée au loin par les flammes
Criant miles mœurs
Pleins de fureur
Démoli toi comme tu ma démoli
Cesse de me tourmenter
Toi Poignard acharné
Doux courroux ayant brisé ma vie
Adieu douce mélancolie
Qui depuis l'éternelle gouverne mes pas
Me faisant sans glisser sur le verglas
Doux ange noir, tu a recouvert ma vie
De tes diabolique ailes
Au grand jamais tu n'entendras mon cri
D'espoir et d'haine,
Qui résonnera jusqu'au jardin d'Eden
Transportée par la brise du vent
Étouffé par le champs de la rouge sirène
Nous envoyant tous contre les roche
De cette vie sans intérêt
Engloutissait moi tous,
Oui tous, noble chimère de mon existence
Cachant moindre innocence
Toi mortel cadeau, étincelant fardeaux
Reprends enfin tout tes maux!
éloigne toi enfin de mon âme déchiré
De Mon corps par le feu ardent de la haine
A jamais de toute part brûlé
Referme enfin la page
De ce livre sans image
Qu'est ce que je suis!
Alors a tous adieu
La mort m'appelle, mais le diable rie
Adieu doux espoir
Bonjour éternelle déboire
Tel sera ma vie d'un étincelant noir
Pleurant a jamais seul le soir
Sous la pluie reflétant
Les traits dépéris d'un sourire effacé
D'un sourire ayant jamais réellement existé

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